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    J'ai ouvert la f'nêtre sur une série de non-sens

     

    Me suis cogné la tête au bassin d'opulence

     

    Putain, putain, que le monde est beau, cette vie

     

    Me traverse de part en part, moi qui suis transit

     

    Comme une lame affûtée sur la douce crinière

     

    Du lion cosmos, serpent roi, soupèse les viscères

     

    Cisaille les gîtes des rescapés derniers planqués

     

    Dans leurs baraques d'or, et nazis oubliés

     

    Au bal où la sueur goutte d'aisselle en aisselle

     

    Qui payera l'addition ? car j'briserai la vaisselle

     

     

     


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